Résumé |
Les microstructures obtenues lors de changements de phase martensitiques, généralement très complexes, sont le résultat de la compétition entre une énergie élastique, responsable des interactions à longue portée entre les différentes phases, et une énergie cristalline pouvant posséder de nombreux minimums représentant l'énergie de chacune des phases. Dans cette présentation, nous proposerons une méthode levant quelques limitations habituelles en modélisation des changements de phase. Notre approche est bâtie sur une représentation simplifiée de la densité d'énergie, définie à partir dun réseau de chemins de réactions (lignes) et dune énergie élastique. Quelques exemples montreront le potentiel de cette méthode. |